Dans ce nouvel épisode du Ciné-Club de M. Bobine, Yoan Orszulik et Julien Pavageau reviennent en détails sur le parcours d’une actrice japonaise peu connue dans nos contrées mais véritable icône au Pays du Soleil Levant : Meiko Kaji.
De The Blind Woman’s Curse à Lady Snowblood en passant par La Femme Scorpion et la série des Stray Cat Rock, elle aura incarné avec le même investissement une cheffe d’un gang de Yakuza pendant l’ère meiji, une meneuse de bande dans le Tokyo des 70’s, une prisonnière en rébellion ou encore une déesse de la vengeance. Le tout devant la caméra des meilleurs artisans de l’époque. De quoi en faire un véritable mythe du cinéma d’exploitation japonais, auquel Quentin Tarantino ne manquera de rendre hommage, de plusieurs façons dans son dyptique Kill Bill.


Allez, je vous laisse. J’ai une petite dizaine de films à rattraper là…
Ping : Ciné-Club n°111 : Chungking Express et Les anges déchus - Brom Bones Big Bazaar