Fin 2018, ma vie professionnelle a connu un petit bouleversement. Une bonne partie de l’année suivante a été consacrée à un formation pour obtenir un titre professionnel d’infographiste metteur en page. Et, depuis janvier 2020, j’occupe un nouveau poste incluant des missions qui étaient jusque là inédites pour moi (j’en parle un peu plus en détails sur cette page). Du fait de ces changements dans mon quotidien, j’ai été contraint de réduire un peu ma participation à la chaîne YouTube Le Ciné-Club de M. Bobine. Ainsi, seuls quatre épisodes auront été signés de ma main au cours de ces deux années, soit la moitié de mon rythme de croisière depuis 2015.
Ceci étant dit, il ne faudrait pas croire qu’il s’agit pas de petits textes rédigés à la va-vite, bien au contraire. Le premier épisode, d’une durée de 21 minutes (la moyenne actuelle de M.Bobine), s’intéresse à un effet spécial apparu timidement au cinéma dans le courant des années 2000 et qui semble aujourd’hui devenu incontournable, notamment via son emploi systématique dans la dernière phase du Marvel Cinematic Universe : le de-aging (ou rajeunissement numérique pour parler français). Après avoir retracé l’évolution de l’effet depuis ses origines peu glorieuses, j’essaie d’en saisir les différentes implications (qui débordent largement du cadre de la pure technologie) mais aussi d’imaginer ce sur quoi il pourrait bien déboucher à l’avenir.